Ma sucette, Quel voyage improbable tout ces piétinements, je t'ai rejoins, à l'uni sont les amants, tous les si sont à notre portée. Viens que je te dise, tu es ma source d'énergie, avec toi mon arc en ciel a une huitième couleur, comment vivre sans te respirer ? Chaque nuit j'écoute sur les toits si demain c'est nos mains chaudes sur nos corps alanguis. Je t'aime un peu, beaucoup, passionnément à la folie, je t'aime plus que la fête. Mon amour, je me roule dans ton corps, assis aux fleurs de toi le chaud du jour nous trouve enivrés. Tu es ma friandise. Qu'il est difficile de conjuguer le verbe aimer ... Sais-tu que tu me fais exploser en milles éclats ? Je veux, Je veux, écouter battre ton coeur pendant des heures et des heures. J'ai froid , nous ne vivons l'un sans l'autre. A quoi bon des yeux qui ne se noient plus dans le vert de ton regard ? Je caresse ton visage tant j'ai rêvé à te respirer. Rappelle-toi ce moment ou rien n'est encore perdu, où toute espérance enivre. Sais-tu que jamais le ciel n'est d'un tel azur que lorsque tu passes ma porte pour venir ? Je pense à toi, Je te donne ce tas de tendresse, d'ivresse, de délires amoureux nouveaux pour en faire d'insatiables ardeurs Que mes baisers te couvrent de joie, je t'envoie le ciel bleu d'aujourd'hui mais aussi de celui plus tourmenté d'hier.